Claude Freyd, (à droite), président du Cetiat, et Pierre Claudel, nouveau directeur général. PYC Média
Claude Freyd, (à droite), président du Cetiat, et Pierre Claudel, nouveau directeur général.
Réuni jeudi 21 avril pour dresser son bilan 2021 et évoquer l'année 2022, le Cetiat fête sa forte reprise mais ne crie pas victoire trop vite alors que d'autres crises apparaissent.

Fort en 2021, le Cetiat joue « l'optimisme rassuré » en 2022

Un chiffre d'affaires en hausse de 11 % avec 13,7 millions d'euros, et une croissance des activités de prestation, le Cetiat et son nouveau directeur général Pierre Claudel soufflent. « Le trou d'air de 2020 est rattrapé, nous sommes revenus au même niveau que celui de 2019 », déclare le récent DG lors de l'assemblée annuelle du Centre Technique des Industries Aérauliques et Thermiques. Dans le détail, le Cetiat retrouve globalement son marché avec un bond de la formation, devant le rattrapage de celles non effectuées en 2020.

2022 sous le signe de l'optimisme

Alors que la crise sanitaire reste dans les esprits, la guerre en Ukraine semble apporter son lot d'impacts au marché comme la pénurie de matières premières. « Nous avions des incertitudes en 2021, nous en avons aussi pour 2022 et préférons un optimisme rassuré, bien que je sois ravi de voir un dynamisme jamais observé jusqu'alors. Il faut être agile pour saisir les opportunités », a déclaré Claude Freyd, le président du Cetiat. Au premier semestre, le chiffre d'affaires est conforté par une hausse de 4 % grâce à des commandes en hausse.